|
| Une nouvelle. | |
| | Auteur | Message |
---|
Malia Tiana Membre Regulier
Nombre de messages : 147 Age : 35 Status : Prof de math E-mail : eloslut@hotmail.fr Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Une nouvelle. Jeu 22 Juin - 12:26 | |
| C'est pas forcément ce qu'on peut appeller une fan fic au sans propre, mais c'est plutôt une nouvelle.
Le lapin de Pâques, et son tour du monde.
Il était une fois, un pays où tout était en chocolat. Les lapins en chocolat et leurs familles, y élevaient des poules en chocolat qui pondaient des oeufs en chocolat, qui écloraient par la suite, donnant naissances à des poussins en chocolat. Ils menaient une vie paisible, où la différence était le cadet de leur soucis. On pourrait même dire que plus ils étaient différents plus ils étaient heureux. Dans ce pays ne figurant sur aucune carte, les lapins et leurs élevages vivaient paisiblement, dans un idyllique paradis, et c'est ainsi que le futur célébrissime Monsieur De La Carotte naquit un beau matin dans ce merveilleux pays... Ses parents le nommèrent Baltazar, c'étaient le nom de son arrière grand-père, il était partit rejoindre ses ancêtres ce beau matin et c'était transformé en un magnifique orme en chocolat bien entendu. Les lapins croyait en la réincarnation et la naissance de cette orme au moment même de la perte de cette être et de la naissance de Baltazar était un signe du destin. Surtout que c'était le plus bel orme de la région et même du pays bien qu'il n'aient que quelques heures. Ses feuilles étaient fines, ciselée d'un chocolat blanc onctueux, son tronc et ses branches étaient quand à elle en chocolat au lait avec de fines nervures en chocolat noir. La particularité de cette arbre était la couleur, la couleur de ses feuilles, elles n'étaient ni marrons ni blanches, mais d'une multitude de couleurs allant du jaune poussin au rouge sang. C'était un étrange phénomène que l'apparition de ses couleurs dans ce mon de chocolat où tout étaient en blanc et marron. Mais personne ne le savait, parce que tout un chacun n'était capable de voir que ces deux couleurs. L'arbre était né quelques heures avant la naissance de Baltazar, un lapin bien spéciale dont je vais désormais vous compter l'histoire.
**********
C'est donc par se beau matin que Baltazar De La Carotte naquis. Il était bien dodu pour un lapereau, et ses parents en furent content, c'étaient un fidèle rejeton qui ressemblait déjà à son arrière grand-père, un grand homme de la famille. L'orme avait poussé dans le jardin de la famille De La Carotte et le père le dédia à son unique fils. Il était fière d'avoir enfin un fils qui pourrait reprendre son exploitation comme lui avait fait avec celle de son père des années auparavant lorsqu'il était partit et c'était transformé en un chêne juste à côté de sa défunte femme. Baltazar grandissait comme tout les lapereaux au contacte de la nature et des poules, mais il était subjugué par la beauté de son orme, ses parents ne savaient pourquoi, mais dès qu'il sut marcher, il allait toujours au pied de cette arbre qui avait un croissance hors norme et qui pour les un an de Baltazar avait déjà attend sa taille adulte. Baltazar connaissait à force d'observation, les moindres détailles des feuilles, les moindres nervures du tronc et le moindre changement de couleur de l'arbre. Oui, Baltazar était un lapin spéciale, il voyait dans ce monde bicolore la particularité de cet arbre, ses couleurs. Lorsqu'il eu trois ans, il avait déjà essayé bien des fois de grimper à cet orme, mais à chaque fois, ses efforts étaient vint. Ce matin là, son premier jour de classe, il avait enfin réussit à atteindre la première branche lorsque son père l'appala pour le mener jusqu'à l'établissement scolaire. Le jeune lapereau, refusa catégoriquement de descendre. Il était bien trop fière de son exploit pour descendre et ainsi ruiner tous ses efforts. Son père, lui ne l'entendit pas de cette oreille, et le fit descendre de force pour qu'il aille à l'école. Entre l'école et Baltazar il y eu très rapidement une passion. Baltazar aimait par dessus tout les cours de botaniques et de géographie. Il trouvait la forme du monde bien étrange, il était plat et tout biscornu, mais Baltazar résoudrait de problème plus tard, pour le moment, il ni avait qu'une chose qui comptaient, savoir d'où venait à son orme ses magnifiques couleurs. Les années avaient passé, après la maternelle, il passa en primaire, jusqu'à atteindre l'université. Il n'avait toujours pas trouvé la réponse à sa question, et souhaitait bien la trouver. Avec le temps, son grand jeu de grimper à son orme était passé, mais son amour pour la nature lui était resté intacte. Une fois ces études finis, il ne connaissait toujours pas la réponse à ses deux questions. Il décida alors d'entreprendre le plus grand périple de mémoire de lapin, faire le tour du monde. Il fit sa valise au grand désarroi de son père et de sa mère en pleure. Il partit après une bonne nuit de sommeil pour une aventure certaine.
********** | |
| | | Malia Tiana Membre Regulier
Nombre de messages : 147 Age : 35 Status : Prof de math E-mail : eloslut@hotmail.fr Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: Une nouvelle. Jeu 22 Juin - 12:26 | |
| Il prit le chemin des grand lacs, ce chemin menait à l'une des merveilles du monde des lapins, un lac alimenté par des cascades de caramelle et de praliné fondu et bien mousseux. Là était fait le meilleur breuvage de tout le pays. Il passa cette merveille après avoir dormis au son des chutes diverses et variées. Le lendemain il alla quand même boire un délicieux chocolat au lait fouetté à souhait. Après s'être remplit la pense, il traversa la foret du bois blanc, elle grossissait tout les ans car les arbres entièrement blanc était planté à la périphérie de la foret. La forêt blanche était un lieu paisible en apparence, mais les lapins ne s'y aventuraient jamais car les anciens, comme on les appelait, avaient dis qu'il y rodait un mauvais esprit et qu'elle n'avait pour fin que le bout du monde, le précipice donnant sur le néant. Baltazar lui ne croyait pas en ce monde plat, il considérait qu'il ne pouvait être que rond, donc pour faire le tour du monde il n'a avait qu'une chose à faire : entrer par un côté de la forêt, bordant tout le pays, et sortir par l'autre en ne faisant que marcher droit devant lui. Il se trouva fort bien dans cette forêt il y était facile d'y manger à sa faim. Et il y faisait fort bon. Pas du tout ce qu'avait décrit les anciens, Baltazar se promit même de revenir ici pour vivre avec sa lapine. Au bout d'une semaine, la forêt devient noire et beaucoup plus dense les arbres grandissaient à vus d'oeil, selon les dire des anciens il se trouvait dans le repère de l'esprit malin. Mais il n'y avait que la couleur qui changeait. Les arbre étaient identiques, mais de couleurs vertes, et marron. Ils n'avaient pas non plus le même aspect, ils étaient comme ceux que vous et moi connaissons, mais Baltazar, lui n'en avait jamais vu de tel. Il continua d'avancer, tout droit, toujours tout droit. À la fin de la journée, il arriva dans la clairière. C'était un endroit dégagé où la lumière était toute à son aise, elle illuminait les feuilles qui prenaient un vert chatoyant à son contacte. Pour les yeux de Baltazar ce fut un feu d'artifice de couleurs et de forme. Passé la clairière, Baltazar ne trouva rien qui lui soit familier, les beau sentier de chocolat blanc et de gravier amande, noix ou noisette était remplacé par un sol gui lui était totalement inconnu, de la boue mais ça, il ne le saurait que bien plus tard. Il avança sur ce "chemin" constellé de cratère d'obus bien que lui n'en connaisse pas la cause. Il découvrit de bien horribles choses, en effet, il arrivait chez les hommes en pleine seconde guerre mondiale. Le première être humain qu'il vit était un vieux sage qui travaillait comme chirurgien pour la croix rouge. Avec lui, il apprit de nombreuses sur le monde des humains. Baltazar vit de ses propres yeux des enfants mourir de faim, lui ne comprenait pas, dans son pays il y avait du chocolat à profusion, personne n'avait jamais faim. Au bout d'un an, il avait appris le nom de toutes les couleurs qui existaient, le chirurgien lui avait même offert un panel de couleur de peintre. Mais, il ne savait toujours pas la forme du monde ni la raison pour laquelle il pouvait voir les couleurs, l'arbre coloré de son grand-père était aussi un mystère. Un beau jour en cette fin de guerre, il fut pris d'un soudain besoin de savoir et de culture. Le chirurgien lui apprit la provenance des couleurs et le mécanisme permettant aux yeux de les voir. Une fois que Baltazar fut satisfait de la réponse, ce qui mit une bonne semaine, le chirurgien lui offrit deux cadeaux. Le premier une map-monde le second un calendrier. Lorsqu'il offrit le premier, le chirurgien dit tout simplement : " C'est le monde... " pour le second il ajouta : " ... et le temp qui passe. ". Les yeux de Baltazar pétillait de mille feux, il venait de recevoir le trésor de sa vie, son existence. Le chirurgien fut honoré de la réaction de son amis lapin, rien ne pouvait lui faire plus plaisir. Baltazar savait désormais tout ce qu'il voulait savoir, mais il avait changé depuis son départ. Il avait vu de nombreuses choses dont il était attristé, le petit lapin était grand, la vie lui avait appris un grand nombre de choses durant son voyage.
********** | |
| | | Malia Tiana Membre Regulier
Nombre de messages : 147 Age : 35 Status : Prof de math E-mail : eloslut@hotmail.fr Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: Une nouvelle. Jeu 22 Juin - 12:27 | |
| Malheureusement pour Baltazar son voyage touchait à sa fin. Il devait rentrer chez lui pour accomplir la promesse qu'il avait fait à son orme ainsi qu'à son arrière grand-père. Il partit, à travers bois, une semaine plus tard, des larmes aux yeux de l'un comme de l'autre étaient visible. Le rendez-vous était fixé pour 41 jours après la seule fête que Baltazar allait apprendre aux autres lapins, Mardi Gras. C'était le jour de rencontre et de séparation de nos deux amis, mais aussi un jour de repos pour chacun d'eux. Baltazar De La Carotte, à sa grande surprise, après sa traversée de la forêt blanche, arriva non pas près des cascades comme lors de son départ, mais de l'autre côté du pays. Durant son séjour, il avait lu un livre. Il y avait apprit une seul chose digne d'intérêt selon lui, il y a des mystères qui ne trouveront jamais de solution. Il y avait aussi dans cette Bible, ce temple du savoir autre chose qui ne revint à Baltazar que quelques temps après, l'esprit est notre plus grande force mais aussi notre plus grande faiblesse. Aucune de ses deux phrases n'étaient explicite dans le livre, mais il suffisait de lire entre les lignes, d'interpréter pour le déchiffrer. Notre héros venait de comprendre, la forêt nous menait là où l'on voulait aller : ainsi Baltazar c'était retrouvé chez les humains pour répondre à ses questions, mais maintenant il était sur le sentiez du riz. Ce sentiez était nommé ainsi pour les buissons gorgé de riz soufflé. Une seule famille savait s'en occuper : la famille Du Riz, notre aventurier croisa le fils et le père affairés au semi et les salua, un peu plus loin, il aida la fille à transporter la récolte, puis sans retourna chez lui. Durant l'heure de marche il ne pensa qu'à une chose : la lapine. Rentré chez lui, ses parents ne furent qu'enchantés de le voir revenir, et lui de revoir son orme. Il était sain et sauf, et la journée venait de toucher à sa fin. Baltazar leur narra ces exploits puis leur montra les présents du chirurgien. Les jours suivants, Baltazar continua ce qu'il faisait depuis son départ du monde des humains : une croix dans le calendrier. Il retournait tous les jours à l'exploitation des Du Riz, il avait dans l'ambition de faire une encyclopédie des différentes activités que faisaient les lapins. Ainsi, espérait-il que chaque lapereau puisse choisir son futur emploi. Pour ne pas écrire n'importe quoi, il observait et questionnait tour à tour chaque membres de la famille. Le père lui proposa même de réaliser lui même chaque étapes. Baltazar enchanté de cette nouvelle accepta. Une fois croquis et texte rédigé, il retourna voir la famille en leur demandant de valider son travail ou de le corriger. Il recommença cette opération avec plusieurs familles : celles chargées des amandes effilées, des noix concassées, des noisettes entières, des zestes d'oranges... Il termina par sa famille et l'élevage des poules et poussins. Une fois l'ouvrage terminé il le fit publier, on le convoqua dans de nombreuses écoles le présentant comme un génie littéraire, mais Baltazar n'avait que faire de la notoriété et des lapines qui avaient craquées pour son jolie minois. Une seule chose lui manquait, elle hantait ses jours et ses nuits, la lapine de ses rêves croisée au hasard d'un chemin le jour de son retour dans ce monde. Ne faisant rien comme tout le monde, notre lapin dessina et créa un nouvel objet chez les lapins : une cloche ; ou devrais-je dire des cloches. Il en avait fondu de différentes tailles, avec différents matériaux, de sorte qu'aucune n'aient le même tintement. Avec du duvet de poussin, des branches humides de son ormes et du caramel, de la rivière du même nom, il fit une couronne. La couronne, il la suspendit dans un endroit qu'affectionnait particulièrement Océane, la jeune lapine. C'était une clairière de la forêt blanche, où coulait un petit ruisseau unique en son genre et inconnu de la population, seul de la lapine et de Baltazar qui avait suivit la charmante jeune femme. Une fois son travail achevé, Océane se retrouva dans son petit coin de paradis et découvrit le présent. Elle laissa un message à l'intention de Baltazar : Rendez-vous demain à 16 heures.
Une fois écrit, glissa le mot dans la couronne de façon a ce qu'il ne s'envole pas. Puis elle se mit à rêver au son des cloches à la journée du lendemain.
**********
Baltazar le lendemain à 16 heures se rendit chez la lapine, elle n'avait pas préciser de lieu de rendez-vous, mais il pensait que c'était au lieu où elle était toujours à cette heure là : dans la grange à riz. Il l'aida à ranger sans dire un mot elle avait l'air déçue. Une fois le travaille achevé elle le remercia et après avoir brutalement changé d'attitude lui sauta au cou.
**********
Baltazar passa les jours suivant à préparer son voyage. Il allait offrir un cadeau à son amis, il avait de nouveau fait des cloches. Océane ne le voyant plus alla un jour frapper à sa porte. Elle le trouva en plein préparatifs et ne voulant pas attendre son retour lui demanda de venir avec lui, sa récolte se finissait le lendemain elle serait libre quelques temps. Ils partirent tous les deux une semaine avant le rendez-vous qu'avait Baltazar. La semaine restante, il la passèrent dans la forêt blanche, tous les deux à apprendre à se connaître. Ils étaient bien chargé car Baltazar avait tenu à prendre de nombreuses cloches en chocolat, mais il les avaient fait à la taille humaine, donc c'était beaucoup plus complexe à transporter. Océane fut stupéfaite de la taille des choses dans le monde des humains, elle ne pouvait en voir les couleurs, mais l'immensité des objets l'impressionnait et ne la rassurait pas. Notre lapin en profitait bien. Le monde des humains avait changé, il était au même endroit, mais tout avait été reconstruit. Nos deux amis allèrent dans le cabinet du chirurgien, il s'y trouvait toujours. Baltazar présenta Océane et ils discutèrent tous trois durant toute la nuit. Le lendemain après quelques heures de sommeil, le dimanche matin, Baltazar amena ses cadeaux et les mis au pied du lit de son ami. Lorsqu'il se réveilla, les deux lapins étaient déjà partit, et avait rejoins la forêt blanche. Océane durant le retour raconta toutes les choses qu'elle voulait faire pour aider les hommes. Elle avait vu des enfants affamés sur des photos. Elle imaginait déjà revenir l'an prochain pour leur offrir du bon chocolat. La forêt blanche était parfaite pour ce voyage. S'ils s'y mettaient à tous, cela ne pouvait être qu'amusant. Elle se voyait déjà préparer des sculptures de poules,, cloches, lapin, poussins, des oeufs bien entendu. En fait, elle imaginait déjà un retour vers ce pays merveilleux qu'était pour elle la terre.
**********
Depuis ce jour, les lapins font selon l'idée d'Océane une bien jolie surprise aux hommes. Tous les ans, le même jours que le rendez-vous de Baltazar, ils apportent leurs oeuvres de l'année aux enfants. Les cachant dans leur jardin ou dans leurs maison. Ils restent en paix dans leur pays, et chacun fait en plus de son travail une oeuvres d'art pour la « grande distribution » comme ils l'ont appelé. Le jour de mardi Gras à bien été installé par notre ami chez les lapins, en plus d'être une grande fête où l'on se déguise, c'est l'occasion du concours annuelle de la plus belle oeuvres d'art. Vous allez me dire : Mais que sont donc devenu notre chère Océane et Baltazar ? Et bien voyez vous, ils ont vécu longtemps, ensemble et ont fondé un famille dans la forêt blanche. Leur maison sert aujourd'hui d'entrepôt pour la « grande distribution ». Leurs enfants eux aussi ont hérité de la même anomalie que leur père. Ils peuvent voir les couleurs des deux magnifiques arbres que sont devenu leur parents. Océane est devenu un chêne avec de belles feuilles dans les tons bleutés, cela rappelle l'écume des vagues, quand à Baltazar, lui est devenu un orme tout comme sont grand-père, mais ses feuilles sont un arc en ciel, une de chaque couleur qui était sur sa palette de peintre. (1)
(1) Fin alternative : Leurs enfants eux aussi ont hérité de la même anomalie que leur père. Ils peuvent voir les couleurs de ce que sont devenu leurs parents. Océane est devenu un chêne avec de belles feuilles dans les tons bleuté, cela rappelle l'écume des vagues, quand à Baltazar, lui est devenu un magnifique lapin or ( de Lindt bien évidement ) qui trône au milieu de la grand place. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Une nouvelle. | |
| |
| | | | Une nouvelle. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |